Les aquariophiles ne sont pas des trafiquants d’animaux (suite)
Suite aux accusations des autorités brésiliennes concernant de soit-disantes actions illicites de la part de killiphiles et avant que les minorités hurlantes auto proclamées « protecteurs des animaux », ne diffusent ces informations après les avoir plus ou moins déformées (plutôt plus que moins d’ailleurs) nous avons tenu à rétablir la vérité par l'intermédiaire d'un communiqué adressé au bureau faune sauvage captive du ministère de la transition écologique.
Fortes chaleurs : pensez O2
Les fortes élévations thermiques sont responsables de la diminution du coefficient de dissolution de l'oxygène dans l'eau de nos aquariums (eau douce comme eau de mer) alors que les besoins métaboliques des poissons sont augmentés. Dans un bac récifal, même dans une situation "normale", le taux d'oxygène dissous est toujours inférieur à celui des récifs continuellement battus par les vagues. Une solution ?
Déconfinement : calendrier aquariophile
Le calendrier du déconfinement présenté ces derniers jours donne des indications sur la reprise des activités aquariophiles. Mais problème : à quoi pouvons-nous être assimilés ? Les réunions associatives ne sont bien entendu jamais citées. Pour les bourses, c'est plus précis.
Propositions de thèses
La Société Française d’Ichtyologie - Cybium (Muséum National d’Histoire Naturelle) nous communique 4 offres de thèses proposées par l’Université de Lorraine.
Les aquariophiles ne sont pas des trafiquants d’animaux
Il circule depuis quelques jours sur internet ou sur les réseaux sociaux un certain nombre d’informations sur l’activité des aquariophiles plus ou moins spécialisés dans l’élevage des killies qu’on appelle killiphiles (voir explications in fine).
Propositions de thèse
La Société Française d’Ichtyologie - Cybium (Muséum National d’Histoire Naturelle) nous communique une offre de thèse : Développement d’une nouvelle filière aquacole sur l’archipel de Saint- Pierre et Miquelon en valorisant une espèce locale à forte valeur ajoutée pour la consommation humaine et la pêche sportive : l’omble de fontaine (Salvelinus fontinalis).
Visioconférences et « droit à l’image »
Les réunions « physiques » entre passionnés sont l’essence même de la vie associative. Elles sont malheureusement quasi impossibles en cette période de pandémie. Restent les visioconférences qui, mêmes frustrantes, permettent un minimum de contact. Mais attention au respect du « droit à l’image » !